
Les partis et les syndicats feront encore une fois leur nécessaire pour calmer le jeu. C'est la merde partout, la population commence à comprendre qu'elle peut perdre tout ce qu'elle avait, mais ...
Jusqu'à quand ?
Pour notre part, notre conception de la grève générale s'accompagne d'une autre dimension : il ne s'agit pas de négocier, mais de gagner. Point.
Cela doit aller dans une perspective d'expropriation et d'autogestion : récupérer ce qui nous appartient, et décider nous-même de ce que nous en faisons.
Les dirigeants ont suffisamment fait preuve de leur dangerosité pour que l'on s'en méfie comme de la peste.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire